Sur la scène internationale
Le CCCA s’efforce de jouer un rôle efficace sur la scène internationale en plaidant en faveur de normes d’assurance de la qualité de l’éducation en lien avec l’agrément en architecture et la certification académique.
Compte tenu du caractère mondial et du contexte de l’exercice de la profession d’architecte ainsi que de la multiplication des ententes mutuelles et multilatérales, le CCCA s’intéresse particulièrement à la mobilité des étudiants et diplômés en architecture et à la qualité de leur formation professionnelle.
Des étudiants et des diplômés canadiens étudient à l’étranger et des étudiants et diplômés de l’étranger désirent poursuivre des études dans des programmes de grade en architecture canadiens et obtenir éventuellement un permis d’exercice comme architecte au Canada.
Le CCCA recherche la collaboration avec ses partenaires mondiaux pour maintenir et développer des modèles solides et internationaux en matière d’agrément et de validation en architecture qui favoriseront et encourageront la mobilité des échanges tant pour l’éducation que pour la pratique architecturale. À cette fin :
- le CCCA a mis en place, par son modèle de certification académique et son programme pour architectes de l’étranger ayant une vaste expérience, des processus pour évaluer la formation et l’expérience de diplômés et de professionnels internationaux qui désirent exercer l’architecture au Canada; et
- le CCCA est devenu, en 2008, l’un des signataires de l’Accord de Canberra, une entente multilarétale entre des organismes d’assurance de la qualité en matière de formation en architecture.
– Si vous êtes un diplômé, une diplômée en architecture de l’international qui cherche à s’immatriculer et à obtenir un permis d’exercice au Canada, cliquer ici.
-Si vous souhaitez poursuivre des études en architecture au Canada, cliquer ici.
Accord de Canberra
L’Accord de Canberra regroupe des signataires dont les systèmes d’agrément et de validation sont considérés comme étant substantiellement équivalents.
Cet Accord a été signé et ratifié à Canberra, en Australie, le 9 avril 2008. Il a été convenu qu’à compter du 1er janvier 2010, les grades professionnels en architecture couverts par leurs systèmes d’agrément et de validation étaient considérés comme étant substantiellement équivalents et admissibles pour assurer la mobilité parmi les systèmes des signataires. Les grades, ou qualifications, accordés avant le 1er janvier 2010 ne sont pas inclus dans cette entente.
Lors de cette rencontre, le NAAB a été sélectionné pour agir comme secrétariat pour l’Accord et il assume encore ce rôle à ce jour.
Extraits de l’Accord :
Après avoir échangé des informations et examiné leurs critères et procédures respectifs d’agrément et de validation des qualifications académiques en architecture, les signataires ont conclu que leurs systèmes sont substantiellement équivalents. Par l’Accord de Canberra …… les signataires reconnaissent l’équivalence substantielle de leurs systèmes en ce qui concerne l’agrément et la validation des exigences universitaires pour l’exercice de la profession d’architecte au niveau professionnel. « Cela étant, les qualifications académiques en architecture agréées ou validées par l’un des signataires doivent être acceptées comme ayant une équivalence substantielle et recommandées pour reconnaissance par tous les signataires, sous réserve des exigences supplémentaires imposées par les réglementations locales. »
« On s’attend à ce que l’Accord facilite la mobilité internationale des diplômés en architecture et contribue à l’amélioration de la qualité de la formation en architecture grâce à l’analyse comparative. »
L’équivalence substantielle est définie comme suit :
« L’expression ‘équivalence substantielle’ détermine qu’un programme est comparable sur le plan des résultats éducatifs dans tous les aspects importants et indique qu’il offre une expérience éducative conforme à des normes acceptables, même si ce programme peut différer dans sa forme ou dans son mode de prestation. L’équivalence substantielle n’est pas un agrément ni une validation. »
Quel est l’avantage de demander la certification académique du CCCA en tant que diplômé d’un signataire de l’Accord de Canberra?
Comment puis-je savoir si mon grade est admissible à l’évaluation en vertu du processus d’application de l’Accord de Canberra?
En tant que diplômé canadien d’un programme agréé, mon grade sera-t-il accepté ou reconnu par les signataires de l’Accord de Canberra aux fins de leurs processus d’évaluation menant au stage et à la délivrance d’un permis d’exercice?
En tant que diplômé international d’un programme canadien, mon grade sera-t-il accepté ou reconnu par le système d’agrément ou de validation de mon pays d’origine s’il est signataire de l’Accord de Canberra?
Le CCCA serait-il intéressé à aider notre organisation à développer un système d’agrément?
Quelles sont les conditions pour devenir un signataire de l’Accord de Canberra?
Sur la scène internationale
Sur la scène internationale
Le CCCA s’efforce de jouer un rôle efficace sur la scène internationale en plaidant en faveur de normes d’assurance de la qualité de l’éducation en lien avec l’agrément en architecture et la certification académique.
Compte tenu du caractère mondial et du contexte de l’exercice de la profession d’architecte ainsi que de la multiplication des ententes mutuelles et multilatérales, le CCCA s’intéresse particulièrement à la mobilité des étudiants et diplômés en architecture et à la qualité de leur formation professionnelle.
Des étudiants et des diplômés canadiens étudient à l’étranger et des étudiants et diplômés de l’étranger désirent poursuivre des études dans des programmes de grade en architecture canadiens et obtenir éventuellement un permis d’exercice comme architecte au Canada.
Le CCCA recherche la collaboration avec ses partenaires mondiaux pour maintenir et développer des modèles solides et internationaux en matière d’agrément et de validation en architecture qui favoriseront et encourageront la mobilité des échanges tant pour l’éducation que pour la pratique architecturale. À cette fin :
- le CCCA a mis en place, par son modèle de certification académique et son programme pour architectes de l’étranger ayant une vaste expérience, des processus pour évaluer la formation et l’expérience de diplômés et de professionnels internationaux qui désirent exercer l’architecture au Canada; et
- le CCCA est devenu, en 2008, l’un des signataires de l’Accord de Canberra, une entente multilarétale entre des organismes d’assurance de la qualité en matière de formation en architecture.
– Si vous êtes un diplômé, une diplômée en architecture de l’international qui cherche à s’immatriculer et à obtenir un permis d’exercice au Canada, cliquer ici.
-Si vous souhaitez poursuivre des études en architecture au Canada, cliquer ici.
Accord de Canberra
Accord de Canberra
L’Accord de Canberra regroupe des signataires dont les systèmes d’agrément et de validation sont considérés comme étant substantiellement équivalents.
Cet Accord a été signé et ratifié à Canberra, en Australie, le 9 avril 2008. Il a été convenu qu’à compter du 1er janvier 2010, les grades professionnels en architecture couverts par leurs systèmes d’agrément et de validation étaient considérés comme étant substantiellement équivalents et admissibles pour assurer la mobilité parmi les systèmes des signataires. Les grades, ou qualifications, accordés avant le 1er janvier 2010 ne sont pas inclus dans cette entente.
Lors de cette rencontre, le NAAB a été sélectionné pour agir comme secrétariat pour l’Accord et il assume encore ce rôle à ce jour.
Extraits de l’Accord :
Après avoir échangé des informations et examiné leurs critères et procédures respectifs d’agrément et de validation des qualifications académiques en architecture, les signataires ont conclu que leurs systèmes sont substantiellement équivalents. Par l’Accord de Canberra …… les signataires reconnaissent l’équivalence substantielle de leurs systèmes en ce qui concerne l’agrément et la validation des exigences universitaires pour l’exercice de la profession d’architecte au niveau professionnel. « Cela étant, les qualifications académiques en architecture agréées ou validées par l’un des signataires doivent être acceptées comme ayant une équivalence substantielle et recommandées pour reconnaissance par tous les signataires, sous réserve des exigences supplémentaires imposées par les réglementations locales. »
« On s’attend à ce que l’Accord facilite la mobilité internationale des diplômés en architecture et contribue à l’amélioration de la qualité de la formation en architecture grâce à l’analyse comparative. »
L’équivalence substantielle est définie comme suit :
« L’expression ‘équivalence substantielle’ détermine qu’un programme est comparable sur le plan des résultats éducatifs dans tous les aspects importants et indique qu’il offre une expérience éducative conforme à des normes acceptables, même si ce programme peut différer dans sa forme ou dans son mode de prestation. L’équivalence substantielle n’est pas un agrément ni une validation. »